Indre-et-Loire
Indre-et-Loire | |
![]() |
![]() |
![]() |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Centre-Val de Loire |
Création du département | |
Chef-lieu (Préfecture) |
Tours |
Sous-préfectures | Chinon Loches |
Président du conseil départemental |
Jean-Gérard Paumier (UDI) |
Préfet | Louis Le Franc |
Code Insee | 37 |
Code ISO 3166-2 | FR-37 |
Code Eurostat NUTS-3 | FR244 |
Démographie | |
Gentilé | Tourangeaux, Indroligériens ou Indréloiriens[1] |
Population | 603 924 hab. (2014) |
Densité | 99 hab./km2 |
Géographie | |
Superficie | 6 127 km2 |
Subdivisions | |
Arrondissements | 3 |
Circonscriptions législatives | 5 |
Cantons | 19 |
Intercommunalités | 11 |
Communes | 273 |
modifier ![]() |
L'Indre-et-Loire est un département français situé en région Centre-Val de Loire. L'Insee et la Poste lui attribuent le code 37. Sa préfecture est Tours.
Histoire
Le département d'Indre-et-Loire est créé en 1790 avec les 82 autres départements français. Son territoire reprend presque exactement les limites de l'ancienne province de Touraine à laquelle est ajoutée toute la partie orientale de l'ancienne province d'Anjou allant de Bourgueil, sur la Loire, jusqu'à Château-la-Vallière au nord en passant par le domaine de Gizeux.
La ville de Richelieu, rattachée, dès sa création par le cardinal de Richelieu, sur le plan administratif, judiciaire et financier, au gouverneur de Saumur et au pays saumurois, est intégrée au tout nouveau département d'Indre-et-Loire en 1790. En revanche la partie orientale de l'ancienne province de Touraine est rattachée aux département de Loir-et-Cher (région de Montrichard) ou de l'Indre (environs de Mézières-en-Brenne et Écueillé).

Après la victoire des coalisés à la bataille de Waterloo (18 juin 1815), le département est occupé par les troupes prussiennes de juin 1815 à novembre 1818 (voir occupation de la France à la fin du Premier Empire).
En 1840, le département qui relève de la cour royale d'Orléans comporte trois arrondissements, vingt-quatre cantons et 282 communes. Au recensement de 1846, le département est subdivisé en trois arrondissements, vingt-quatre cantons et seulement 281 communes, après l'annexion de Saint-Etienne-Extra par Tours en 1845. Il compte 312400 habitants. La France métropolitaine selon le même recensement officiel compte environ 35,4 millions d'habitants dans ses 86 départements.
Durant l'occupation allemande, pendant la Seconde Guerre mondiale, le département est coupé en deux par la ligne de démarcation.
Emblèmes
Blason
![]() |
Blasonnement :
« D'azur semé de fleurs de lys d'or à la bordure componée d'argent et de gueules de vingt-deux pièces. » |
Politique
1789 - 1870 : Une terre conservatrice mais avant tout modérée
La Touraine, séjour des rois de France, demeura longtemps une terre conservatrice, comme le note Honoré de Balzac dans plusieurs de ses romans. Néanmoins, avant tout, elle demeure une terre modérée, rarement en proie aux passions politiques. Au cours des premières années de la Troisième République elle demeurait royaliste.
L'Indre-et-Loire sous la République : une terre radicale
Vers le républicanisme rural.
Peu à peu néanmoins, le département d'Indre-et-Loire devint une terre de républicanisme et, plus précisément, de radicalisme tempéré puis de radical-socialisme, à dominante rurale. C'est ainsi que le gendre du président Jules Grévy, M. Wilson, fut député de Loches. Camille Chautemps fut député d'Indre-et-Loire durant l'entre-deux-guerre. Après la victoire de 1918 la rue Royale à Tours devint la rue Nationale. Cet ancrage au centre-gauche fut une constante jusqu'à la guerre de 1940, même si, les décennies passant, il se colora d'un certain conservatisme.
Saint-Pierre-des-Corps, bastion communiste
Dès sa naissance en 1920 au congrès de Tours, le Parti communiste français (PCF) a compté un bastion en Indre-et-Loire, celui de Saint-Pierre-des-Corps, près de Tours, qui, par ses implantations ferroviaires, est doté d'une forte identité ouvrière.
Depuis 1920, tous les premiers magistrats de la commune sont membres du PCF, notamment Marie-France Beaufils élue pour la première fois en 1983 et sénatrice depuis 2001.
L'après-guerre en Touraine : Jean Royer et André-Georges Voisin
L'Indre-et-Loire de l'après-guerre est assez largement dominée par deux figures fortes : celle de Jean Royer, maire de Tours de 1958 à 1995 et député du département de 1958 à 1999, infatigable bâtisseur, et celle d'André-Georges Voisin (1918-2008), conseiller général de l'Île-Bouchard, président du Conseil Général des années 1970 au début des années 1990, qui dota la Touraine de son étoile autoroutière à cinq branches et construisit un grand nombre de ponts. Ces deux personnalités gaullistes n'en demeurent pas moins singulières, et peu en phase avec les découpages partisans classiques.
Le retour à la tradition de centre-gauche ?
Le basculement de la mairie de Tours à gauche en 1995 et celui du département en mars 2008 confirment le retour d'une gauche modérée sur la scène politique tourangelle. Jean Germain, en ce sens, s'inscrit bel et bien dans une tradition radicale et socialiste dont Yves Dauge, sénateur de Chinon, n'a cessé d'être le représentant. Quant au conseil général présidé par Claude Roiron puis Marisol Touraine, il a basculé pour la première fois à gauche lors des cantonales de mars 2008 ; la carte politique du département n'en est pas moins très duale, entre des campagnes massivement à droite et une agglomération tourangelle à gauche. À ce titre, il semble hasardeux de parler de retour à une tradition politique : le socialisme urbain d'aujourd'hui semble a priori bien éloigné du radicalisme rural d'hier.
Géographie

Situation
Le département d'Indre-et-Loire fait aujourd'hui partie de la région Centre-Val de Loire qui regroupe également les départements d'Eure-et-Loir, de Loir-et-Cher, du Loiret, de l'Indre et du Cher.
Le département a une superficie de 6 127 km2 qui le place au 41e rang national en importance de taille et au 5e rang régional sur 6. Il est limitrophe des départements de Loir-et-Cher au nord-est, de l'Indre au sud-est, de la Vienne au sud-ouest, de Maine-et-Loire à l'ouest et de la Sarthe au nord.
Un parc naturel régional concerne en partie le département d'Indre-et-Loire : le parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine, situé entre Angers (Maine-et-Loire) et Tours.
Géographie physique
Le département d'Indre-et-Loire se situe à l'extrémité sud du Bassin parisien.
Le département d'Indre-et-Loire est traversé d'est en ouest par la Loire qui sépare le département en deux parties avec au nord la Gâtine et au sud la Champeigne. C'est dans ce département que le Cher, l'Indre et la Vienne se jettent dans la Loire.
La topographie du département dépasse souvent les 100 mètres mais jamais les 200 mètres et est assez vallonnée au sud toujours à proximité des rivières (Céré-la-Ronde près de Montrichard est le point culminant du département avec 187 mètres d'altitude), alors que le nord demeure tabulaire (Gâtine tourangelle). En revanche, la rive nord longeant la Loire est un peu plus vallonnée.
Hydrographie
Les plus longues rivières traversant le département d'Indre-et-Loire :
- Aigronne ;
- Amasse ;
- Authion ;
- Brenne ;
- Bresme ;
- Cher ;
- Choisille ;
- Cisse ;
- Claise ;
- Creuse ;
- Dême ;
- Dêmée ;
- Escotais ;
- Esves ;
- Fare ;
- Gartempe ;
- Gault ;
- Indre ;
- Indrois ;
- Lathan ;
- Luire ;
- Mable ;
- Madelon ;
- Manse ;
- Maulne ;
- Muanne ;
- Négron ;
- Ramberge ;
- Roumer ;
- Suin ;
- Tourmente ;
- Vandœuvre ;
- Veude ;
- Vienne ;
Climat
Le climat d'Indre-et-Loire est tempéré. La Loire est souvent utilisée comme frontière climatique entre Nord et Sud de la France. Les étés sont en règle générale assez chauds (température maximale annuelle dépassant toujours les 33 °C), des températures supérieures à 42 °C ont ainsi été enregistrées en 1947 et 2003.
À l'inverse, les températures très basses sont rares, descendant rarement sous les −10 °C seuil franchi en 1985/1986 et 1996/1997. La Loire gèle alors, on rapporte ainsi que lors d'un hiver particulièrement rigoureux on a pu la traverser à pied (hiver 1956). Le fleuve charrie des blocs de glace lorsque la température descend sous les −10 °C.
La pluviométrie est assez faible (de 500 à 700 mm par an), ce qui peut engendrer de graves situations de sécheresse comme en 1976, 2003 ou 2006. La neige est également rare (pas plus de 10 jours par an).
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 2 | 1,9 | 3,9 | 5,6 | 9,2 | 12,1 | 14 | 13,8 | 11,1 | 8,6 | 4,6 | 2,5 | 7,4 |
Température moyenne (°C) | 4,7 | 5,2 | 8,1 | 10,4 | 14,2 | 17,5 | 19,8 | 19,6 | 16,5 | 12,7 | 7,8 | 5 | 11,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,3 | 8,5 | 12,3 | 15,2 | 19,1 | 22,8 | 25,5 | 25,5 | 21,8 | 16,8 | 10,9 | 7,5 | 16,1 |
Ensoleillement (h) | 69,2 | 92 | 142,1 | 180,4 | 202,5 | 228,2 | 249,1 | 239 | 186 | 123,3 | 79,5 | 57,1 | 1 848 |
Précipitations (mm) | 66,3 | 55,9 | 50,2 | 55,9 | 62,3 | 46,1 | 53,2 | 42,6 | 53,3 | 71 | 67,9 | 71,2 | 695,9 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
7,3 2 66,3 | 8,5 1,9 55,9 | 12,3 3,9 50,2 | 15,2 5,6 55,9 | 19,1 9,2 62,3 | 22,8 12,1 46,1 | 25,5 14 53,2 | 25,5 13,8 42,6 | 21,8 11,1 53,3 | 16,8 8,6 71 | 10,9 4,6 67,9 | 7,5 2,5 71,2 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Économie
Tours : une agglomération tertiaire et administrative
Ville bourgeoise et commerçante, Tours, en dépit des implantations ferroviaires à Saint-Pierre-des-Corps, ne fut jamais un centre industriel de grande ampleur. Son centre, classiquement, abrite des services de qualité, de commerce et de restauration, dans les domaines culturel ou de d'habillement ; en matière d'enseignement, il est doté de plusieurs lycées, dont le prestigieux lycée Descartes, et de l’université François-Rabelais. Il est structuré autour d’importantes administrations, la mairie de Tours, le conseil général d’Indre-et-Loire, ainsi que la préfecture du département.
L'économie rurale en Indre-et-Loire
Il convient de distinguer en Indre-et-Loire quatre ensembles ruraux, bien distincts sur les plans géographique et économique.
L'axe ligérien
Traditionnellement, la Loire est propice au développement des cultures maraîchères. Elle le demeure aujourd'hui. S'y rattachent les vignobles de Vouvray.
Le Chinonais
Les pays de la Vienne se distinguent par l'importance du vignoble de Chinon, et la structure en domaines et coopératives viticoles, très prégnante dans l'économie rurale. La centrale nucléaire EDF d'Avoine-Chinon emploie plus de 1200 personnes, plus de 800 personnes dans la sous traitance, et environ 700 emplois dans les entreprises installées sur la zone industrielle du Véron (actualment 400 emplois).
La Gâtine (Touraine du nord et du nord-ouest)
Espace pauvre et en déprise partielle, la Gâtine tourangelle est touchée de plein fouet par les mutations du monde agricole.
La Touraine du sud-est
Espace rural préservé, traditionnel et polyvalent sur le plan agricole, la Touraine du sud-est, autour de Loches, est surtout un lieu de tourisme, de villégiature ; les résidences secondaires y tiennent une place importante.
Démographie
Les habitants d'Indre-et-Loire sont appelés Tourangeaux (par analogie entre le département actuel et l'ancienne province de Touraine qui lui correspondait). Cette appellation peut parfois prêter à confusion, et différentes tentatives ont été faites sans succès pour trouver un autre gentilé aux habitants du département, comme Indréloiriens ou Indro-ligériens.
Grandes villes d'Indre-et-Loire

Ci-dessous est donnée la population des vingt communes les plus peuplées d'Indre-et-Loire. Les chiffres sont ceux de la population légale 2014 établie par l'Insee. Ces populations légales, entrées en vigueur le 1er janvier 2017, ont été calculées conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003. Leur date de référence statistique est le 1er janvier 2014.
La plupart de ces communes font partie de l'agglomération de Tours.
- Tours : 135 480 habitants
- Joué-lès-Tours[5] : 37 748 habitants
- Saint-Cyr-sur-Loire[5] : 15 841 habitants
- Saint-Pierre-des-Corps[5] : 15 404 habitants
- Saint-Avertin[5] : 14 002 habitants
- Amboise : 13 371 habitants
- Chambray-lès-Tours[5] : 11 109 habitants
- Montlouis-sur-Loire[5] : 10 574 habitants
- Fondettes[5] : 10 427 habitants
- La Riche[5] : 10 080 habitants
- Chinon : 8 073 habitants
- Ballan-Miré[5] : 7 900 habitants
- Monts : 7 697 habitants
- Loches : 6 321 habitants
- Veigné : 5 990 habitants
- Esvres : 5 442 habitants
- Bléré : 5 290 habitants
- Luynes[5] : 5 154 habitants
- Château-Renault : 5 058 habitants
- La Ville-aux-Dames[5] : 4 832 habitants
Les résidences secondaires
Selon le recensement général de la population du 1er janvier 2008, le département comptait 4,4 % de résidences secondaires. Ce tableau indique les principales communes de l'Indre-et-Loire dont les résidences secondaires et occasionnelles dépassent 10 % des logements totaux.
Ville | Population SDC | Nombre de logements | Résidences secondaires | % Résidences secondaires |
---|---|---|---|---|
Chaveignes | 549 | 398 | 130 | 32,76% |
Bossay-sur-Claise | 827 | 553 | 130 | 23,51% |
Yzeures-sur-Creuse | 1 466 | 867 | 144 | 16,66% |
Genillé | 1 526 | 861 | 120 | 13,96% |
La Chapelle-sur-Loire | 1 538 | 791 | 103 | 12,97% |
Chouzé-sur-Loire | 2 081 | 1 147 | 127 | 11,07% |
Sources :
- Source INSEE,chiffres au 01/01/2008.
Culture
La bibliothèque départementale de prêt permet aux petites communes et à ses habitants de disposer d'une offre en matière de lecture.
La bibliothèque d'étude de la Société archéologique de Touraine met à la disposion des curieux et des chercheurs (autorisés) un important fonds d'ouvrages concernant l'histoire, l'archéologie et la patrimoine de l'Indre-et-Loire et de l'ancienne Touraine, l'histoire de France, ses problématiques et méthodes[6].
Des initiatives récentes développent la mémoire de la batellerie ligérienne en Indre-et-Loire, dans le périmètre du Val de Loire classé au patrimoine mondial de l'UNESCO[7], avec la préservation ou la reconstitution d'anciens bateaux de Loire comme à Tours, grâce à l'association Boutavant[8], à Savonnières avec le scute Dame Périnelle, classé au Patrimoine fluvial depuis 2012[9], construit par l'association Les bateliers du Cher[10] ou à Lignières-de-Touraine avec le chaland La Fillonnerie construit par l'association Ancre de Loire[11], qui sont le prétexte à des actions archéologiques et pédagogiques.
Bibliographie
SCHWEITZ (Daniel), Une Vieille France : la Touraine. Territoire, histoire, patrimoine, identités (XIXe-XXe siècles), Tours, CLD, 2012, 194 p., ill., (ISBN 2854435443).
SCHWEITZ (Daniel), Histoire et patrimoine de la Touraine. Introduction aux études locales. Guide du lecteur et du chercheur en bibliothèque, préface de Jean-Pierre Chaline, professeur émérite à la Sorbonne, in Mémoire de la Société archéologique de Touraine, LXVIII, 2011, 192 p. (vente à la Bibliothèque SAT).
SCHWEITZ (Daniel), Aux origines de la France des pays : Histoire des identités de pays en Touraine (XVIe-XXe siècle), préface de Daniel NORDMAN, directeur de recherche au CNRS, Paris, L’Harmattan, 2001, 463 p.-XXVII p. de pl., (ISBN 9 782747 512503).
Notes et références
- ↑ Voir «Les habitants de votre département ont-ils un nom ? » sur Libération, 29 juin 2013.
- ↑ Structure de la population du département de 1968 à l'année de la dernière population légale connue
- ↑ Structure de la population du département de 1968 à l'année de la dernière population légale connue
- ↑ Fiches Insee - Populations légales du département pour les années [ 2006], [ 2014]
- 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 fait partie de l'agglomération de Tours
- ↑ « Bibliothèque : informations pratiques », sur le site de la Société archéologique de Touraine (consulté le 6 juillet 2015)
- ↑ Val de Loire entre Sully-sur-Loire et Chalonnes - Patrimoine mondial de l'UNESCO
- ↑ Tours – Balades en Loire : une toue de la Ville de Tours remontera la Loire jusqu’à l’abbaye de Marmoutier. sur le site resistanceinventerre.wordpress.com (consulté le 13 juillet 2012)
- ↑ Dame Périnelle sur le site officiel de la Fondation du patrimoine maritime et fluvial
- ↑ Le projet de scute médiéval fluvial à Savonnières
- ↑ Le chaland La Fillonnerie
Voir aussi
Articles connexes
- Conseil départemental d'Indre-et-Loire
- Liste des arrondissements d'Indre-et-Loire
- Liste des cantons d'Indre-et-Loire
- Liste des communes d'Indre-et-Loire
- Liste des anciennes communes d'Indre-et-Loire
- Liste des députés d'Indre-et-Loire
- Liste des sénateurs d'Indre-et-Loire
- Liste des conseillers généraux d'Indre-et-Loire
- Liste des préfets d'Indre-et-Loire
- Département français
- Liste de ponts d'Indre-et-Loire
- Archives départementales d'Indre-et-Loire
- Liste de films tournés en Indre-et-Loire
- Volontaires nationaux d'Indre-et-Loire pendant la Révolution
Liens externes
- Préfecture d'Indre-et-Loire
- (fr) Département d’Indre-et-Loire : Les comptes des communes et des groupements à fiscalité propre : Données individuelles - Budget principal seul - Données consolidées « Budget principal et budgets annexes »
- Conseil départemental d'Indre-et-Loire
- Site officiel du tourisme en Touraine - Agence départementale du tourisme
- Observatoire de l’Économie et des Territoires de Touraine
- Petites Annonces en Indre et Loire
- Centre national d'archéologie urbaine, service du ministère de la Culture et de la Communication, direction du Patrimoine et de l'Architecture
- Météo de l'Indre-et-Loire (37)
- Portail d’Indre-et-Loire et de la Touraine